Pour l’article d’aujourd’hui, j’ai eu envie de vous parler d’une expérience que j’ai vécue et qui a été compliquée à gérer. Cet article sera donc un peu comme un témoignage, plus personnel et intime que d’habitude. J’ai eu, pendant plusieurs semaines, des terreurs nocturnes – je ne savais pas ce que c’était – qui m’ont énormément fatiguée. J’ai donc cherché à les chasser. Le but de cet article est donc de vous expliquer comment ces terreurs se sont manifestées chez moi, comment je me suis sentie, partager avec vous les prises de consciences que j’ai eues, et la/les solutions que j’ai trouvé… ou plutôt que l’on m’a donné ! Pour les plus pressés d’entre vous, je vous donne rendez-vous en bas de l’article pour une checklist qui résume l’ensemble des solutions, et remèdes qui m’ont aidé.

Des cauchemars incessants aux crises de larmes

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Il m’était déjà arrivé, il y a quelque mois, de faire des cauchemars toutes les nuits. A ce moment là, je ne l’ai pas particulièrement mal vécu. Je trouvais cela bizarre et un peu inquiétant… mais ça s’arrêtait là. Ils me laissaient relativement indifférente… en tout cas, ils ne nuisait pas particulièrement à mon sommeil.

Seulement voilà, il y a quelques semaines, j’ai recommencé à faire des cauchemars toutes les nuits… plusieurs fois par nuits. Ces cauchemars étaient si intenses qu’ils allaient jusqu’à me réveiller. C’est à ce moment que ça a commencé à être compliqué de gérer pour moi, car je vivais ces cauchemars. Quand je dis que je vivais ces cauchemars, je veux dire que toutes mes émotions, tous mes sentiments les plus profonds remontaient à la surface. Chaque cauchemar mettait fin à mon sommeil, avec toute la rage ou la tristesse que mon corps pouvait contenir, m’empêchant ainsi de me rendormir paisiblement. Lorsque j’ai commencé à me réveiller de manière régulière, j’ai aussi commencé à redouter le sommeil. Il est devenu pour moi, un moment de souffrance, un monde que je me suis mise à redouter.

Un soir m’a marqué en particulier. Je me suis couchée, endormie… puis, le cauchemar. J’étais avec ma mère debout devant la cheminée, et, elle avait mis à brûler tous les vêtements que nous avions passé du temps à trier ensemble – je n’ai toujours pas compris ce message d’ailleurs – ainsi que ma brassière de sport. Le feu à commencé par brûler cette brassière de sport. Lorsque je me suis rendue compte que tout allait partir en fumée, avec ma brassière en première ligne, j’ai commencé à hurler sur ma mère, à lui déverser toute la haine et toute la rage que je pouvais contenir. En face, elle me regardait éberluée, sans comprendre ce que j’exprimais. Elle se disait que ce n’était pas grave, et ne comprenait pas mon état. Je me suis réveillée à ce moment, en panique et en colère, comme si on venait de me faire quelque chose d’impardonnable. J’ai mis quelques minutes avant de me remettre de mes émotions, de me calmer… puis, me sentant très mal, je me suis demandée “Est-ce que j’essaie de me rendormir, où est-ce que je m’arrête là pour cette nuit ?”. Il devait être à peine 1h ou 2h du matin, je ne me souviens plus très bien… mais dormir devenait une torture, car je ne me reposais plus du tout. Je me réveillais fatiguée… épuisée à cause de toutes ces émotions qui me pompaient toute mon énergie. Étant exténuée, j’ai fais le choix, plutôt logique… me rendormir. Je me disais en quelque sorte que “j’avais déjà fait mon cauchemar de la nuit” et que ça irait peut-être mieux. En fait pas du tout, ça a été encore pire.

J’ai eu le plaisir de faire un deuxième cauchemar dont je ne me souviens pas. La seule chose qui est restée, ce sont mes émotions, ma peine. Je me souviens seulement qu’il impliquait ma sœur, moi… et que j’éprouvais une très grande tristesse. Bref, je me suis réveillée en larmes. A partir de là, impossible de me calmer, la crise de larme a duré sans que je puisse m’apaiser. J’ai donc abandonné, j’ai laissé sortir les émotions qui avaient besoin d’être évacuées… avant de me rendormir d’épuisement.

Heureusement, il n’y a pas eu de troisième cauchemar… je l’aurais difficilement supporté. Mais lors de mon – vrai – réveil, le matin, je me suis dit : Ok, là j’ai réellement besoin d’aide, tout cela doit cesser. Puisque je ne peux pas m’en sortir toute seule, je vais demander l’aide de quelqu’un.

Apprendre à s’écouter et s’exprimer : deux clefs incontournables

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Avant de passer aux solutions, à l’aide que j’ai reçue… j’aimerais partager avec vous quelques prises de consciences. Le cauchemar que je vous ai décrit par rapport à ma mère m’a beaucoup intriguée… on dit toujours que les rêves et les cauchemars sont bizarres, et souvent qu’il “ne faut pas chercher à comprendre”… mais moi j’avais envie d’en savoir plus.

Ce qui m’intriguait le plus, c’était cette brassière de sport que ma mère avait mis au feu et qui cramait… parce que, parmi mes affaires de sport, il s’agit de mon équipement préféré. C’est pour ça que je me suis posé la question, je me suis dit “pourquoi particulièrement la brassière ?”… Bref, il y a quelques semaine de ça, j’avais annoncé à mes parents que je m’étais inscrite à la salle de sport… Leur réaction ? “Ah non mais t’as pas fait ça ? C’est con, tu vas jamais y aller pendant un an ! On le sait, on l’a fait nous et on a à peine tenu 2-3 mois.”. Si sur le moment je n’ai pas vraiment réagi, je pense que j’ai intériorisé mes sentiments vis-à-vis de cette réflexion, qui est partie directement dans mon inconscient et m’a touché biiiien plus que ce que j’imaginais. Lorsque j’ai pris conscience de cela, j’ai ressenti le besoin de l’extérioriser définitivement en parlant à ma mère, en lui expliquant ce que j’avais ressenti et à quel point je ne m’étais pas sentie soutenue. Comme dans mon cauchemar, elle était stupéfaite, et a immédiatement cherché à se justifier sans prendre le temps de comprendre… mais le lendemain, elle m’en a reparlé, à froid et en prenant plus de recul. Elle m’a rassurée et mieux comprise.

J’ai donc compris à quel point il est important :

  1. D’écouter ce qu’on ressent : car si on intériorise tout, cela nous revient forcément dans la figure tôt ou tard.
  2. De l’exprimer : car sinon cela reste bloqué et se manifestera jusqu’à ce que “ça sorte”.

Le magnétisme et la fin des terreurs nocturnes

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Quand j’ai décidé d’aller voir quelqu’un, j’étais un peu perdue. Je ne savais pas à qui faire appel, donc j’en ai parlé à l’une de mes amies les plus proches. Elle m’a immédiatement donné les coordonnées d’une magnétiseuse, en me disant qu’elle était fabuleuse – je valide – et qu’elle l’avait beaucoup aidée.

Je suis donc allée la voir, samedi dernier. Je me suis sentie à l’aise tout de suite, je ne peux pas expliquer pourquoi, mais rien que le fait de m’asseoir sur son canapé en face d’elle, je me suis sentie comme apaisée.

Stéphanie – la magnétiseuse – a engagé la conversation, puis m’a expliqué que ce que je vivais s’appelaient des terreurs nocturnes. C’est à ce moment que j’ai réellement pris conscience de l’importance de tout ça. Elle avait prévu également quelques petits remèdes homéopathiques – et donc sans dépendances – pour m’aider à me calmer, telles que :

  • Spray aux fleurs de bach ( Rescue)
  • Stramonium 9CH : 5g le soir (1 mois à renouveler)
  • ou quiétude/Sédatif PC
  • Passiflora composée
  • Arnica Montana 9CH (plutôt pour les grosses émotions)

Je ne vais pas vous détailler toute la séance, mais aller à l’essentiel. Concrètement, après avoir vérifié chacun de mes 7 chakras principaux, elle m’a annoncé que mon cinquième chakra , c’est-à-dire celui de la gorge, était bloqué. Cela ne m’a pas beaucoup étonné, car, comme je lui ai expliqué, ces derniers temps je me suis très peu exprimée, et j’ai intériorisé beaucoup de choses, aussi bien avec ma famille, qu’en cours… et cela a finit en angine. Une angine spectaculaire qui a commencé par la gorge, au cas où je ne comprendrais pas le message, voyez-vous. Elle m’a ensuite débloqué ce chakra, et mon ventre s’est de nouveau mis à gonfler et dégonfler tout seul, au fur et à mesure de mes inspirations et expirations. Car oui, depuis ces terreurs nocturnes, j’avais également des difficultés à respirer et me sentir remplie d’air. En quelques minutes, Stéphanie a réglé le problème et j’ai respiré naturellement et profondément.

Enfin, elle m’a aussi proposé de travailler avec les pierres, une pratique qui m’attirait mais qui ne m’était pas familière. Elle a ouvert une petite boîte, en me disant, “l’une de ces pierres vous attire sans doute plus que les autres… et cette pierre, c’est celle dont vous avez besoin”. Je n’ai pas précisé laquelle, mais je lui ai dit qu’effectivement, une pierre m’attirait plus que les autres. Elle a attrapé le quartz rose, et m’a lancé “Le quartz rose est idéal pour votre situation. Il permet de travailler en douceur sur les émotions, et les blessures.”. J’ai souri, et je lui ai dit que c’était bien cette pierre que j’avais choisie.

Par la suite, j’ai discuté avec une collègue que j’aime beaucoup, qui m’a donné de précieux conseils par rapport aux pierres. Je vous les partage :

  • Quartz Rose : douceur, parfaite pour les soucis émotionnels.
  • Calcite bleue : pour travailler sur le chakra de la gorge.
  • Rhodochrosite : pour les grosses blessures émotionnelles, c’est, je cite : “de l’amour en barre !”.
  • Cornaline : pierre d’ancrage idéale pour la méditation, permet de libérer sa féminité, son côté créatif.
  • Célestine/Célestite : pour le sommeil, favorise les rêves et évite les cauchemars.
  • Sélénite : après des recherches personnelles, j’ai découvert cette pierre idéale pour un sommeil doux et paisible.

Je me suis donc procuré : un petit quartz rose que j’adore, une calcite bleue qui chauffe très fort quand je la tiens dans ma main, une cornaline que je n’ai pas encore utilisée au moment où j’écris cet article, une sélénite qui m’aide réellement à mieux dormir… je crois !

Je vais finir cet article sur la Sélénite. Le soir avant de dormir, je m’allonge et la place au niveau de mon chakra du cœur, en écoutant de la musique douce. L’objectif ? M’apaiser et me mettre dans de bonnes conditions de sommeil. Je dois dire que cela est très efficace. Je commence à m’endormir. A ce moment, j’arrête la musique et je place la pierre dans mon oreiller, prête pour une bonne nuit de sommeil. Le matin, je me réveille en forme, même si j’ai très envie de traîner au lit tellement mon sommeil est agréable. Et les cauchemars dans tout ça ? J’ai fait un cauchemar il y a deux nuits, mais il m’a laissé indifférente au niveau émotionnel. C’était un simple cauchemar comme on regarderait un film. J’ai donc pu me reposer malgré cela, et me réveiller pleine d’énergie !

Sans titreVous trouverez ci-dessous la checklist  – en téléchargement gratuit – qui résume tout ce que j’ai cité dans cet article, tout ce qui m’a aidé à combattre mes terreurs nocturnes :

Terreurs Nocturnes Checklist   Terreurs Nocturnes Checklist


Si vous connaissez d’autres remèdes, d’autres solutions pour combattre les terreurs nocturnes, n’hésitez pas à nous en faire part dans la zone de commentaire ci-dessous.

Ou, si vous souhaitez partager votre expérience sur le sujet – ou sur un autre sujet de développement personnel – comme je viens de le faire, je vous donne rendez-vous dans la rubrique GUEST BLOGGING, où vous trouverez toutes les informations.

Exprimez-vous, car vous ferez du bien aux autres et à vous-mêmes :

  • c’est excellent pour vous : votre cinquième chakra (celui de la gorge) sera tout content !
  • c’est excellent pour les autres : ils s’enrichissent grâce à vos conseils et de vos expériences !

C’est bénéfique pour tout le monde… alors, on se lance ? 😀

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